Quelques idées reçues
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La sophrologie se vit plus qu'elle ne se dit.
Cependant, nous pouvons clarifier ce qu'elle n'est pas !
La sophrologie n'est pas :

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Une méthode "magique" :
ni au niveau des techniques qui s'appuient sur la recherche scientifique, ni dans la pratique qui est un entraînement volontaire et méthodique.

Une simple boîte à outils de techniques
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La sophrologie est une démarche dans laquelle chacun va pouvoir mieux se connaître et mobiliser ses capacités de bien-être, d'adaptation et d'évolution. Son point de départ phénoménologique est aussi important que les techniques elles-mêmes.

De l'hypnose :
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il n'y a aucune suggestion inductive de la part d'un sophrologue, la sophrologie développe au contraire l'autonomie et la participation active.

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Une sorte de yoga :
même si le corps occupe une place centrale dans la démarche, il n'y a ni posture obligatoire, ni croyance, ni philosophie en sophrologie.

Une méthode de relaxation :
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même si la capacité de détente et de récupération est souvent travaillée en sophrologie, la relaxation n'est pas une fin en soi. L'objectif est même, au bout d'un certain temps, de ne plus avoir BESOIN de se détendre.

de l'auto-suggestion :
la sophrologie développe la connaissance de soi et les capacités d'adaptation et d'action; il ne s'agit en aucun cas de voir la vie en rose ou de s'auto-suggérer que tout va bien ou mieux.

Un traitement médical :
La sophrologie ne se substitue pas à un avis ou à un traitement médical. Elle peut utilement intervenir en complément.

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Une psychothérapie :
Le sophrologue n'est pas habilité pour diagnostiquer et prendre en charge des troubles entrant dans le cadre des psychopathologies. Il ne cherche donc pas à interpréter ou à analyser. Il pourra intervenir en complément et en collaboration avec un médecin, un psychologue ou un psychothérapeute.
